Laurence Vanin-Verna développe ses pensées sur le Dieu des philosophes.
Il s’agit alors de gravir les deux versants difficiles et d’apparence contradictoires, foi et raison, d’un même sommet où campe le divin. D’un point de vue philosophique la mise à mort de Dieu annoncée par Nietzsche vient mettre un terme à tout un pan de l’histoire de la philosophie médiévale ou classique dont Dieu était soit le référent, soit la clef de voûte. De fait, pourquoi évoquer un Dieu des philosophes ? Bien des interrogations agitent les pensées du philosophe et Dieu a souvent occupé une place centrale mais avec la mort de Dieu, ce concept a-t-il vraiment disparu de la philosophie ? Le philosophe, outre les questionnements sur le monde et sur l’homme, ne se doit-il pas aussi de sonder les mystères de l’origine de l’humanité ?
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